Les punitions de la directrice sont très plaisantes

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il y a 6 ans

Cet entretien avec Aurore de Fontenoy, la directrice du collège privé de mon fils, m’ennuyait ferme. Curieusement, elle m’a reçu dans son appartement de fonction, au dernier étage du collège. Louis avait triché en classe et se voyait menacé de renvoi. En prime, c’était à moi qu’on faisait la leçon. Comme si c’était facile d’élever un gamin, seule ! Par ailleurs, j’avais un rendez-vous galant avec mon nouvel amant, à l’hôtel. Alors, les leçons de morale, j’avais hâte d’en finir ! Seulement, quand elle m’a accusée de mal élever mon fils, j’ai bondi : “Vous voulez peut-être que je vous fasse des lignes?” Elle a enchaîné: “Non, ce que vous mériteriez, c’est une bonne fessée déculottée, à l’ancienne. En plus, bien administrée, elle présente certains avantages…” J’ai vite compris à quoi elle voulait en venir. Cela faisait longtemps que je n’avais pas joué avec une femme. Et puis, elle était pas mal, madame la directrice… Au final, si je me débrouillais bien, j’évitais le renvoi à Louis.

Je me suis levée, j’ai fait tomber ma robe sous laquelle je portais des bas maintenus par un serre-taille de cuir (cadeau de mon amant), et je me suis penchée en avant sur un fauteuil, attendant la fessée. La blonde est restée sans voix, puis elle a ôté son tailleur.

Dessous, elle portait une vraie tenue de pute. Elle cachait bien son jeu. Elle a ouvert une boîte sur son bureau et en a sorti un cigare. Manquait plus que ça! Elle avait dû lire trop de potins sur l’affaire Lewinsky… J’en étais là de mes réflexions cyniques quand elle a saisi les lacets de mon corset et m’a tirée en arrière.

Elle avait de la poigne! Ça m’a déclenché une crispation dans le bas-ventre, et ma mouille a suinté le long de mes parois. Tout a basculé dans ma tête. Mon corps fourmillait d’envie, je me sentais prête à tous les jeux.

Dans un silence religieux, elle a ouvert ma fente à deux mains. Allait-elle m’enfiler son cigare entre les fesses?

Cette image a fait palpiter mon petit anus, et la mouille a dévalé entre mes cuisses. J’ai senti un doigt s’insérer dans mon fourreau, une langue se promener le long de ma raie. On ne prononçait pas un mot, les respirations parlaient pour nous.

Dans le silence du bureau, le bruit d’une langue sur un cul et le clapotis de la mouille agitée par un doigt occupaient tout l’espace avec obscénité! Cela m’échauffait encore plus. Aurore m’a fait pivoter. J’ai vu son visage déformé par l’excitation. Elle semblait prête à tout pour me baiser. Et j’adorais ça.

J’ai fait glisser les bretelles de sa lingerie pour découvrir la pointe acérée de ses seins fermes. J’allais les gober quand elle a passé sa main entre mes cuisses pour m’enfiler trois doigts d’un coup. J’ai hoqueté de plaisir. J’ai saisi son poignet en murmurant : “Pas tout de suite… Je veux te bouffer…”

Elle s’est immédiatement arrêtée et a fait tomber sa nuisette. Dessous, elle portait un string noir à perles. Les petites boules lui massaient le clitoris à chaque mouvement. Je me suis agenouillée devant elle: “Montre-moi…” Elle s’est ouvert la fente. Ses lèvres rouges luisaient de désir. Les perles de son string s’enfonçaient aussi dans sa raie. J’ai plongé ma langue dans ses chairs trempées, fouillant son vagin, remontant sur son clito tout dur, humant sa bonne odeur.

Son jus barbouillait ma bouche. Tous les muscles de son corps se crispaient pour mieux offrir son sexe à mes assauts. Elle me regardait faire, et semblait de régaler de me voir la bouffer. Par jeu, je l’ai poussée sur son bureau et j’ai saisi les perles de son string entre mes dents. Je me suis amusée à les agiter sur son bouton, la menant au bord du premier orgasme sans jamais la laisser franchir la porte.

Cuisses ouvertes et chatte offerte, elle a plongé la main dans un tiroir de son bureau et en a sorti un gode rose. Fébrilement, elle a tenté de l’insérer dans sa fente pour apaiser le feu que je ne cessais pas de ranimer… Sadiquement, j’ai pointé ma langue dans son œillet musqué au moment où elle enfonçait le phallus de latex dans son conduit avide.

Elle a poussé un petit cri. Je jubilais. Je lui ai pris l‘engin des mains et je l’ai ramonée avec, tout en lapant son clito de plus en plus fort et en agitant les perles de son string dans sa raie. Elle matait, se tordait le cou. J’ai accéléré tous mes mouvements, les perles, le gode, la langue, tout. Sa main s’est enfoncée dans mes cheveux, et elle a collé mon visage contre sa chatte détrempée en criant : “Oh oui, oui, vas-y, ouiiii!” Je l’ai fait jouir. J’ai bon cœur.

Je me suis redressée et, sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je l’ai regardée d’un air effronté : “À toi, baise-moi !” Elle a eu un petit sourire. Elle a ouvert un autre tiroir de son bureau, et je n’ai pas été étonnée (elle se révélait prévisible) de la voir en sortir un gros gode-ceinture: “Attache-le!” Je l’ai équipée.

Par jeu, je me suis penchée vers le gode et j’ai craché un peu de salive dessus avant de le sucer et de le branler. Puis, d’une voix rauque, j’ai murmuré: “Enfile-moi…” Elle m’a retournée et a enfoncé son phallus factice au fond de mon conduit humide. Elle m’a baisée en levrette, claquant comme un mec sur ma fente et mes globes. Puis elle s’est assise sur le bureau et m’a ordonné d’un ton sans réplique de me baiser toute seule. Ça m’a collé un frisson dans l’échine. Je me suis agitée sur l’engin, asticotant mon clitoris en même temps. Insidieusement, le plaisir s’est faufilé en moi, a pris de l’ampleur, puis toute la place. Je crois que j’ai crié, je ne suis pas sûre.

Elle m’a caressé tendrement les cheveux et m’a glissé d’un ton aussi suave que pervers: “Viens dans ma chambre, j’ai d’autres jouets à te montrer…” Je l’ai suivie. On est arrivées dans une pièce assez tape-à-l’œil.

Aurore s’est défait de son gode-ceinture et a sorti d’un placard une boîte à trésors : dedans, une véritable débauche de godes et vibromasseurs en tout genre! J’étais fascinée.

Elle a saisi un petit plug rouge et m’a tendu ses fesses. J’ai écarté ses globes pour libérer son œillet gourmand. Je l’ai foré de la langue pour le dilater encore, et j’ai fait couler un peu de salive avant d’enfoncer le plug dans son petit gouffre. À peine l’objet en place, elle a tiré sur ses lèvres, appelant à être remplie. Par quoi ?

La boîte aux trésors à portée de main, elle a fouillé dedans et en a extrait un vibro souple, qu’elle a immédiatement enfoncé dans sa chatte luisante. Cette odeur si particulière de femme a chatouillé mes narines et renf o r c é mon excitation. Je lui ai ramoné le fion avec le plug, le manipulant de plus en plus vite d’une main tout en claquant ses fesses de l’autre. Ça avait l’air de la rendre folle. Elle ne gémis- sait plus, elle ahanait. Elle avait enclenché la vitesse maximum du vibro. Ça tressautait dans sa main, avec un bruit étrange. J’ai offert un dernier assaut à ses fesses insatiables en la traitant de salope. Ça lui a déclenché un orgasme phénoménal: son boyau se contractait autour du plug. Je me suis dit que si j’avais été un homme, je l’aurais bien enculée… Son plaisir a coulé le long du vibro. Dans un dernier râle, elle l’a extrait de sa chatte. Il luisait, c’était impressionnant!

Mais moi, je n’avais pas eu ma dose, et baiser cette blonde m’excitait considérablement. Le double dong de la dame me faisait de l’œil. J’ai tiré brutalement Aurore au bord du lit. Dilatée comme elle était, je n’ai eu aucun mal à lui fourrer une des extrémités dans la chatte. Je me suis introduit l’autre bout et je l’ai laissé s’enfoncer doucement le long de mes parois en éveil. Bien calée sur ce pénis rose bonbon, les pieds au sol, je me suis agitée dessus. Des fourmis me traversaient le bas-ventre. Aurore me servait de gode vivant Elle semblait hors-service. Pourtant elle a posé ses mains sur mes fesses, et d’un coup sec, a enfoncé ses ongles dans ma chair. J’ai tressauté, dégustant la surprise et la douce douleur. Elle s’est redressée, et ça a remué le dong au fond de mes entrailles. Elle a happé un de mes tétons et l’a sucé, puis mordu, puis léché, comme pour apaiser le feu de sa morsure. Mon sein meurtri a transmis le message à mon sexe, qui s’est contracté sur le dong. J’étais sur le point de jouir, mais je voulais que ça dure encore.

J’ai proposé à ma maîtresse de changer de position, et je me suis dégagée. Le dong suintant pendouillait entre ses cuisses comme une bite molle. Ça m’a fait rigoler. Je l’ai tirée sur le lit et je me suis mise dessus, de dos. Je me suis renfilé l’engin.

Aurore m’a écarté les fesses et a chatouillé du doigt mon petit trou gourmand.

Mais elle l’a juste effleuré. Moi, j’avais bien l’intention de profiter de l’instant, alors j’ai passé ma main le long de ma raie et j’ai enfoncé mon majeur dans mon anus. Certainement surprise par mon geste, Aurore est restée immobile un instant. Puis elle s’est agitée de façon à remuer le gode dans nos deux sexes.

Ça avait quelque chose de surréaliste : je me baisais sur le gode de la protal de mon fils, à poil, un doigt dans le cul! Un frisson de plaisir m’a traversée. J’avais envie de voir aussi. Pour jouir, je dois regarder. Alors, j’ai encore changé de position et je me suis mise face à Aurore. On a cou-lissé toutes les deux en rythme sur l’objet de double plaisir. Je me caressais le clito en même temps. Aurore, elle, se pinçait les tétons comme une f o r c e née, en poussant des petits cris de plaisir.

Elle haletait de plus en plus fort, l’orgasme paraissait imminent. J’ai donné une grande ruade vers l’avant, et le gode s’est enfoncé sèchement dans son conduit mouillé. Elle a commencé à chanter son plaisir, la tête en arrière. Elle jouissait très joliment. Contente de moi, j’ai accéléré les mouvements sur mon clito, dans ma chatte, et j’ai décollé aussi.

Néanmoins, histoire de lui laisser un souvenir impérissable, je l’ai chopée brutalement par les hanches pour remonter son cul à hauteur de mon visage. Je lui ai léché la raie tout en glissant un ultime sextoy dans son vagin. Ses odeurs de femme me remontaient à fond dans les narines, j’avais envie de la faire voler. J’ai vrillé ma langue dans son rectum et j’ai agité le toy dans sa chatte, jusqu’à ce que j’identifie cette respiration caractéristique qui précède l’explosion.

Une fois qu’elle a eu joui de tout son corps, je lui ai ordonné de se mettre à quatre pattes sur le lit. Je lui ai grimpé dessus et je me suis masturbée le clito en me frottant comme une femelle en rut contre sa peau brûlante jusqu’à l’orgasme.

Plus tard, quand on a été rhabillées, elle m’a dit qu’elle voulait me revoir. Je lui ai répondu qu’en tant que parent d’élève, je ne manquerai pas de passer dans son bureau.

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